Le soleil brille sur la belle ville Nice, durant la nuit le même cauchemar me revient pour me réveillé en pleine nuit, revoyant les chars rouler sur la terre dur, un soldat a terre toucher au niveau du cœur qui meurt et qui se fait écraser part les chenilles du char. Tout ce que j’ai vu quand j’étais un enfant soldat. Ensuite je me vois jouer dans un jardin où un sourire se montre d’un soldat, le soldat qui m’a adopté et élevé comme son fils, mais ce dernier est mort sur le terre part une grenade lancer près de lui. J’ai pus retrouver le sommeil au bout d’une heure, mais un sommeil très court pour supprimer la fatigue je vais sous la douche de l’hôtel et je me savonne et je sors enfin pour allé m’habiller. Je regarde le temps dehors qui m’allaire doux, je prends mes sacs et je remets mes habits dedans je ne reste pas dans cette chambre, je vais essayer de gagner quelque sous pour me payer un logement que je pourrais avoir. Mais avant tout je vais vers le Lycée ou je me sens pas très bien, je regarde les personnes qui se mette a crier, a rigoler. Je vais dans ma salle de cours et m’installe en haut au fond. Je passe la journée dans le Lycée, enfin la fin de cette journée de cours sonne et j’ai envie d’aller vers la plage, l’endroit idéal où je peux respire et me sentir a l’aise. Je regarde les vagues et je respire, sortant mon bloc de dessins je prends un crayon et je commence a dessine, je regarde de temps en temps les vagues et je vois une petite arriver vers moi, je souris et je vois sa mère arriver qui s’excuse de m’avoir déranger, je lui dis que elle ne m’as pas déranger. Je la vois qui s’en vas loin de moi et je regarde le sable, je me dis que je dois avoir vraiment du mal, déjà je n’arrive pas bien en cours que tout le monde se moque de moi, et que durant la journée de cours je me suis payer un poing d’un mec plus fort et plus grand que moi, mais je n’ai pas de lunettes pour cacher le bleu autour de mon œil. Le soleil commence a se baisser, je range mes affaires et reste assis sur la plage.

A vrai dire je ne savais pas si c’est le bleu autour de mon œil ou le fait que sa petite fille vus venue vers moi, que la femme s’étais excuser du dérangement. Je soupira lentement et je pensa a la nuit qui allais arriver, et dont j’allais surement prendre une chambre une fois de plus et faire une fois de plus un cauchemar, j’en avais bien assez de faire ses horrible cauchemars qui prenais le dessus de ma conscience. Je respira et décida de retire mon tee shrit de couleur noir qui sculpter ma carrure du haut de mon corps, je pensais aller nager pour retire tout les pense noir quand une voix se fit entendre, je tourna ma tête et je vis un jeune garçon mes yeux se posèrent sur son corps ce que je ne compris pas, secouant ma tête je repris mes esprits et je décida comme ça, de me lever et de prendre mes affaires, je sentais que cette personnes était très douce donc je ne devais pas avoir peur, je posa mon sac et m’assit a ses côtés espérant qu’il ne me vire pas, mais bon si il le fait c’est qu’il est pas vraiment net dans sa tête, car si il me dis bonjour et que il me demande de me barre c’est qu’il a un sérieux problème. Lui renvoyant son salut avec un salut a ma manière ce qui veux dire une voix très douce et mélanger avec une pointe de peur, je le regardai doucement et je sentis une douleur au niveau de mon œil, je posai par réflexe ma main et je la retirai doucement, je ne voulais pas montre que j’avais peur. Mais il m’est difficile de ne pas montre que j’ai peur, maintenant mon pseudo courage se dissipe et je n’ose plus le regarde comme avant, je fuis son regard et je pose mes yeux vers la mer, je ne dis plus rien et je sens la fatigue prendre place dans mon corps, ce cauchemars ma fait dormir très peu d’heure et le coup m’as fait ressentir cette fatigue que j’avais enfouis dans mon corps.

Je regarder le sable, je n’arriver plus a le regarder comme avant, je sentis ses mouvement j’avais peur un peux a se moment là. Je fermai mes yeux, cherchant un moyen pour m’évader et pouvoir cherche une sortie pour un autre monde, dans ma tête un monde était former un monde remplis de barrières devant des portes qui étais nouvelles. Chaque jour j’essayer de briser ses barrières ou de les faire tomber. Je ne savais pas ce que voulais dire s’amuser, je ne savais pas non plus nager j’allais surement me prendre une honte quand il saura que je n’ai jamais nagé de ma vie. Les soldats n’avaient pas que ça a faire apprendre à nagé a nous, pauvres enfants soldats je le vis qu’il me tendit la main et je vis que il avait retire son tee shrit. Je le regardais avec des yeux d’enfant, je pris un courage qui traîner dans ma tête et l’accrocha et je pris sa main et me leva. Je le regardai dans les yeux, je lâchai sa main pour retire mon pantalon et laisse place au short de bain de couleur noir. Je repris sa main par reflexe qu’il parte et qu’il ne revienne pas, comme ma conscience est celle d’un enfant je n’ai pas vingt ans dans ma tête. Une fois près de l’eau je mis les pieds dedans et il me lâcha pour aller dans l’eau un peux plus loin, je commençai a marcher je m’approcher de lui en douceur et je vis que je n’avais plus pied, je fus pris de panique et je m’accrocha après le nouvel inconnu qui était doux avec moi, je l’entoura de mes bras et je sentis ses bras m’entoure et je le regarda dans les yeux, une envie pris tout mon corps je plaça en douceur mes mains sur son tors. Je dis enfin un mot enfin une phrase qui étais stupide.

« J’ai peur, j’ai plus pied ne me lâche pas. »

Le beau brun pris ma main et se releva puis ôta son pantalon, il avait décidément un corps parfait, peut-être pas autant que le mien mais il était quand même à craquer. Il reprit ma main dans la sienne pour se diriger vers la mer, malgré qu'il ait le même âge que moi il paraissait plus jeune, pas physiquement mais mentalement... Ça faisait bizarre...
Quand l'eau arriva à nos pieds je lui lâchai la main pour aller plonger dans l'eau bleue, je ressortis la tête de l'eau et passa une main dans mes cheveux, je n'avais plus pied mais battaient des jambes pour garder ma tête hors de l'eau et regarder le jeune homme avancer prudemment. Il se rapprochait de moi lentement et fut d'un coup pris de panique quand il sentit ne plus avoir pied, il s'accrocha vite à moi qui du battre des jambes plus vite pour supporter nos deux poids.
Je l'entourai de mes bras pour pas qu'il se noy et nageait lentement vers un endroit où on aurait pied. Il posa doucement ses mains sur mon torse et me dit qu'il avait peur et de ne pas le lâcher. Je souris, son air gamin était assez mignon et je répondis.

Ne t'inquiète pas.

Je sentis le sable sous mes pieds, je pus enfin me reposer, supporter deux poids n'étaient pas vraiment facile mais je n'avais rien fait voir au jeune homme collé à moi.

C'est bon. Tu devrais avoir pied maintenant.

Un sourire doux s'esquissa sur mon visage, d'un coup je réalisai que j'étais étonnement gentil, habituellement j'aurais laissé le mec se démerder tout seul et serais parti nagé plus loin mais lui, avec son air enfantin me donnait envie d'être gentil. Quoiqu'on aie tous les deux pieds il n'ôta pas ses mains de mon torse et moi je le gardais collé contre moi.

Je voulais que le monde que j’avais crée dans ma tête, sois claire et remplis d’amour et de chaleur. Mais je n’arriver pas a retire mon passe douloureux, je vis que le jeune homme qui n’avais pas dit son prénom m’aida quand je m’étais accroché a lui, il m’aida a aller vers un endroit qui été pour moi a pieds. Toujours contre lui je posai ma tête sur son tors, écoutant les battements de son cœur, je regardai le jeune garçon dans les yeux et je pris sa main et l’entremêla avec la mienne. Il doit penser que je suis un gamin mais j’ai vingt ans, je le regardai et je souris et je reporte mon regard sur les vagues petites. Je lui dis tout en regardent l’eau.

« J’ai vingt ans, je sais que sa parait faux, mais j’ai vingt ans. J’ai été en orphelinat a six ans pour être envoyer sur les terrains de guerre, j’ai vus mes camarades se faire tuer sous mes yeux et un soldat ma emmener en orphelinat a dix ans et ensuite il m’a adopté mais il est repartis sur le terrain et il est mort sur le terrain quand j’avais dix sept ans, et comme je ne pouvais pas aller en orphelinat, j’ai dus marcher seul pour arriver ici. Je ne sais pas nager, je ne sais pas ce que veux dire s’amuser. J’ai le mental et aussi la conscience d’un enfant de dix ans. Je voudrais avoir le monde que je vois en ce moment je le voudrais dans ma tète. Mon prénom c’est Jeremy et toi le tiens c’est comment ? »

Je le regarda a ce moment là, et je fixa ses lèvres ensuite son corps. Je me mis sur lui un poids léger sur lui. Je déposai mes lèvres sur les siennes mes mains parcourant son tors. Mais je m’arrêta directement et je pensa directement a mon père adoptif qui me frappais quand je faisais des bêtises toute bête.

Je voulais a tout pris réussir a détruire tout ses barrières devant les portes de ce monde qui m’entoure. Je vis que dans son regard que ma vie n’était pas pour lui, en faite ce que je veux dire c’est que ma vie il en n’a rien à faire. Je le regarda et je sentis une étrange sensation dans mon corps, ce que j’avais jamais eu durant cette enfance, Il dis son prénom et je le retenu facilement, la plage se vider peu à peu, toujours colle a Ezra, je l’avais regarder durant un moment et l’avait embrasse de nouveau et il avait prolonger en me serrent un peux plus contre lui, je me roula dans le sable, et je me mis sur lui et l’embrassa tendrement, je caressa ses hanches avec mes mains délicates et douce. Je descendis mes mains vers le haut de son maillot, et je le descendis doucement et lui retira, je l’embrassai dans le coup, je bougeai mon bassin contre lui et je l’entourai de mes bras muscles. Je retirai mon maillot et je bougeai encore plus sur lui, j’avais une folle envie de lui, j’abaissai mes baisers et j’arrivai au milieu de ses jambes, et je pris son membre en bouche et commença a le sucer de manière douce puis je sentis son jus dans ma bouche. Je pris mon membre et me branla et je me frotta contre sa raie et je pus glisser en douceur, je le regarder dans les yeux et je l’embrassai dans le coup. Son orifice me laisse une place bien large mon me laisse entre. Je lui caressa ses pectoraux muscle et je lécha ses tétons.